Un récit subjectif et personnel de Georges Buisson, ancien administrateur du domaine G. Sand. Une déambulation dans le jardin de Nohant. Mieux, une errance le long des jardins – inventés ou découverts – par George Sand.
Un » travail où la distance physique et la distance métaphorique viennent se mêler inextricablement puisque ce poème quasiment autobiographique renvoie dans ses creux et ses lisières à l’expérience personnelle du confinement, de la mise au vert et du départ. » in Charybde 27, le blog.
Deux années se sont écoulées depuis ce fameux jour où l’irréversible et terrible processus. Neuf mois plus tard, le dernier enfant naissait dans une banlieue du Caire, le tout dernier humain. À fleur de peau, l’humanité est impatiente d’entendre la véritable histoire de celle qu’elle considère comme l’unique responsable de cette extinction de masse : ma fille. >>
Soit la véritable histoire de Gaya Sharpe. Un premier roman sur l’écoresponsabilité, l’effondrement qui vient, et l’espoir peut-être.
Il a deux cents ans, il se confie enfin. Maurice, entomologiste délicat, expert de la Commedia dell’arte, longtemps il demeura dans l’ombre de son théâtre de marionnettes.
Mais c’est à celui de sa mère George que Maurice appartenait. Celui de Nohant. Celui où, en somme, c’est tout le xɪxᵉ́ siècle qui défila
Observateur malicieux, il partage sa philosophie hédoniste et contemplative de la randonnée. Ses rencontres inattendues au détour du chemin. Son émerveillement devant une nature (re)belle, toujours.
“Lorsqu’un désir tellurique vient saisir les amants, femmes ou bêtes, animaux dotés (et ô combien) de langage – lorgnant du côté du souffle primal (…) les plaquant entre la peau et l’écorce pour des étreintes potentiellement cataclysmique.” in Charybde 27, le blog.